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À examiner l'âme humaine et à la bien définir, on trouvera que l'erreur n'est rien et que le méchant n'est qu'esclave. Il faut donc se résigner à la nécessité de Dieu qui consiste en l'inertie des corpuscules. D'où l'on revient, par une fuite en soi-même, à l'Esprit du Fils, qui est tout de grâce. Et enfin à l'esprit tout seul qui est fantaisie et frivolité. À chacun de fêter sa Pentecôte, qui consiste à jouir du bonheur de penser, et à pardonner à Dieu. C'est là l'idée la plus cachée et la plus pacifiante. Repousser de soi le Pascal qui ne cesse d'importuner Dieu.